"(...) Etre en vie, respirer tout simplement, voilà un miracle de chaque instant auquel nous nous accoutumons et que nous finissons par dédaigner. C'est un sentiment profond, non pas primaire, d'accorder de la valeur à la vie, de l'approuver, de lui faire confiance (...)."
Jacqueline Kelen, Inventaire vagabond du bonheur
Et c'est surtout quand la vie disparaît autour de nous, qu'on se se rappelle ce miracle et qu'on se rend compte à quelle point elle est précieuse.
Et parfois, il y en a qui partent bien trop tôt. Beaucoup trop tôt.
Il y a déjà un an, c'était Hadrien. Il y a quelque quatre mois, c'était Eglantine, ma nièce chérie. Il y a quelques jours, Fabi, la grande copine de ma copine Soph.
Mais la vie est là pour nous rappeler que la vie continue. Douces pensées pour Clémence et son papa, pour Antoine et son papa et pour tous ceux qui les aiment.