Le véritable voyage,
ce n'est pas de parcourir le désert
ou de franchir de grandes distances sous-marines,
c'est de parvenir en un point exceptionnel
où la saveur de l'instant
baigne les contours de la vie intérieure.
Si l'eau d'un étang reste immobile,
elle devient stagnante, boueuse et fétide;
elle ne reste claire que si elle remue et coule.
Il en est de même de l'homme qui voyage.
La connexion avec la nature entraîne la connexion avec soi et les autres.
On apprend à ouvrir un espace intérieur plus vaste,
générateur de réceptivité, de calme et de paix,
qui nous relie naturellement avec tout ce qui existe.
Il faut faire du désherbage de l'âme !
Nous avons des pulsions multiples, dont certaines potentiellement dangereuses : nous devrions apprendre à désherber ces mauvaises herbes pour créer un jardin intérieur plaisant et amical.
:
"La beauté n'est pas le joli, elle est le vivant. Est beau ce qui est vivant, ce qui jaillit de la vie, ce qui honore la vie. Au coeur de notre quotidien, tout est sujet à émerveillement et à gratitude. Faire l'expérience de la beauté nous agrandit, ouvre notre coeur à la joie, nous libère du mental et du négatif." Dans ce blog, je fais miennes ces paroles de Brigitte Sénéca.