5 octobre 2009
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Souvent, je suis préoccupée par toute une série de choses :
ce qui s'est passé,
ce qu'untel va penser de moi,
ce que je dois faire,
ce que j'ai oublié de faire,
tout ce qui me reste à faire...
Et parfois j'oublie ma vraie nature
et je fais le grand écart par rapport à mes valeurs...
Je découvre une phrase d'Henry-David Thoreau, cet américain du 19e siècle, poète à ses heures, essayiste, abolitionniste non-violent. Une phrase qui me parle beaucoup.
"Ce qu'il y a devant nous et ce que nous laissons derrière, ceci est peu de choses comparativement à ce qui est en nous.
Et lorsque nous amenons dans le monde ce qui dormait en nous, des miracles se produisent."
ce qui s'est passé,
ce qu'untel va penser de moi,
ce que je dois faire,
ce que j'ai oublié de faire,
tout ce qui me reste à faire...
Et parfois j'oublie ma vraie nature
et je fais le grand écart par rapport à mes valeurs...
Je découvre une phrase d'Henry-David Thoreau, cet américain du 19e siècle, poète à ses heures, essayiste, abolitionniste non-violent. Une phrase qui me parle beaucoup.
"Ce qu'il y a devant nous et ce que nous laissons derrière, ceci est peu de choses comparativement à ce qui est en nous.
Et lorsque nous amenons dans le monde ce qui dormait en nous, des miracles se produisent."