20 janvier 2009
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19:17
Ma soeurette, de passage ici, m'a gentiment signalé que le texte que j'avais publié n'était pas de Pablo Neruda. Ceci n'enlève bien sûr rien à la beauté des mots et de leur signification. Mais je me dois de rendre à César ce qui appartient à César et à Martha Medeiros ce qui lui appartient !
Il semblerait que l'erreur ait été commise avant moi... en public de surcroît, par un Italien du nom de Clemente Mastella, leader des démocrates pour l'Europe. C'est lui qui a erronément attribué ce texte à Neruda.
L'auteur est une brésilienne, Martha Medeiros, qui a été chroniqueuse du journal Hora Zero de Porto Alegre.
Désolée, Madame Medeiros... j'espère que vous ne m'en voudrez pas.
Merci, Jo, pour ta vigilance et la précision de ta rectification !
Il semblerait que l'erreur ait été commise avant moi... en public de surcroît, par un Italien du nom de Clemente Mastella, leader des démocrates pour l'Europe. C'est lui qui a erronément attribué ce texte à Neruda.
L'auteur est une brésilienne, Martha Medeiros, qui a été chroniqueuse du journal Hora Zero de Porto Alegre.
Désolée, Madame Medeiros... j'espère que vous ne m'en voudrez pas.
Merci, Jo, pour ta vigilance et la précision de ta rectification !