15 juillet 2009
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Je viens de terminer la lecture du livre de Lytta Basset, intitulé Ce lien qui ne meurt jamais. Lytta Basset est confrontée au suicide de son fils de 24 ans. Dans le brouillard qui suit cette disparition, elle couche ses impressions dans un journal intime. Dans le livre qu'elle nous propose, elle accompagne les extraits de ce journal de méditations sur la vie et la mort, sur la présence et l'absence, sur les liens et les signes du vivant, sur le deuil. Tout cela à la lumière de sa foi et de sa connaissance des textes bibliques (elle est professeur de théologie protestante en Suisse).
"Le chemin de vérité qui mène à une Vie plus forte que l'irréparable n'est pas l'apanage des croyants. Le clivage est ailleurs. Il dépend de l'orientation choisie : malgré ou à travers la mort de notre proche, désirons-nous ardemment aller vers ce qui vit ou décidons-nous d'étouffer ce désir en nous ?"
Bien sûr, ce n'est pas le dernier roman de l'été... C'est un livre qui pousse à la réflexion, qui pose question, qui donne vie, au-delà du chagrin et du découragement. Une belle découverte ! Merci Eliane.
"Consentir, c'est être sauvé."
Bernard de Clervaux.
"Le chemin de vérité qui mène à une Vie plus forte que l'irréparable n'est pas l'apanage des croyants. Le clivage est ailleurs. Il dépend de l'orientation choisie : malgré ou à travers la mort de notre proche, désirons-nous ardemment aller vers ce qui vit ou décidons-nous d'étouffer ce désir en nous ?"
Bien sûr, ce n'est pas le dernier roman de l'été... C'est un livre qui pousse à la réflexion, qui pose question, qui donne vie, au-delà du chagrin et du découragement. Une belle découverte ! Merci Eliane.
"Consentir, c'est être sauvé."
Bernard de Clervaux.